Lamey Auguste-Guillaume : Différence entre versions

De Ecole normale de l'an III
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<span style="font-variant:small-caps;"> Found a typo? Just edit it.</span><div><div style="padding: 0 1.5em; text-align: justify; width:42%;float:left;margin-left:40px;"><div style="text-align:center;margin-bottom:20px;font-variant:small-caps;">'''Notice'''</div><p><b>-- LAMEY Auguste-Guillaume</b>* (Kehl, 3 mars 1772 – Strasbourg, 27 janvier 1861), fils de Jean-Martin, commerçant, et de Charlotte Catherine Lotzbeck, est nommé le 12 nivôse par le district de Colmar. Élève du Gymnase protestant de Strasbourg où ses parents se sont installés en 1778, puis étudiant à l’Université de Strasbourg où il fréquente G.K. Pfeffel, il trouve à s’employer comme greffier du juge de paix du troisième arrondissement de Strasbourg où il est connu pour ses <i>Dekadenliedes</i> chantés dans les Temples de la Raison.</p><p>Signataire des pétitions du 24 germinal et 17 floréal, l’école normale fermée, il se fait nommer à Paris comme traducteur officiel de l’Imprimerie nationale. Homme de lettres, il trouve à s’employer en 1812 au bureau de douane de Lunebourg (Basse-Saxe) avant d’exercer à partir de 1816 diverses charges judiciaires en Alsace (à Münster, Altkirch, Colmar et Strasbourg). Sa pension de retraite liquidée en 1844, il se consacre à l’écriture et à sa collection d’art.</p></div><div style="padding: 0 1.5em; text-align: justify; vertical-align:top;margin-right:20px;float:left;width:42%"><div style="font-variant:small-caps;text-align:center;margin-bottom:20px;">'''Sources'''</div><small><p>[AD Haut-Rhin – L 827 ; AN - D XXXVIII, 1, dossier 11 ; F17/9558 ; <i>Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne</i>, Strasbourg, 1985, p. 2188]</p></small></div></div>
 
<span style="font-variant:small-caps;"> Found a typo? Just edit it.</span><div><div style="padding: 0 1.5em; text-align: justify; width:42%;float:left;margin-left:40px;"><div style="text-align:center;margin-bottom:20px;font-variant:small-caps;">'''Notice'''</div><p><b>-- LAMEY Auguste-Guillaume</b>* (Kehl, 3 mars 1772 – Strasbourg, 27 janvier 1861), fils de Jean-Martin, commerçant, et de Charlotte Catherine Lotzbeck, est nommé le 12 nivôse par le district de Colmar. Élève du Gymnase protestant de Strasbourg où ses parents se sont installés en 1778, puis étudiant à l’Université de Strasbourg où il fréquente G.K. Pfeffel, il trouve à s’employer comme greffier du juge de paix du troisième arrondissement de Strasbourg où il est connu pour ses <i>Dekadenliedes</i> chantés dans les Temples de la Raison.</p><p>Signataire des pétitions du 24 germinal et 17 floréal, l’école normale fermée, il se fait nommer à Paris comme traducteur officiel de l’Imprimerie nationale. Homme de lettres, il trouve à s’employer en 1812 au bureau de douane de Lunebourg (Basse-Saxe) avant d’exercer à partir de 1816 diverses charges judiciaires en Alsace (à Münster, Altkirch, Colmar et Strasbourg). Sa pension de retraite liquidée en 1844, il se consacre à l’écriture et à sa collection d’art.</p></div><div style="padding: 0 1.5em; text-align: justify; vertical-align:top;margin-right:20px;float:left;width:42%"><div style="font-variant:small-caps;text-align:center;margin-bottom:20px;">'''Sources'''</div><small><p>[AD Haut-Rhin – L 827 ; AN - D XXXVIII, 1, dossier 11 ; F17/9558 ; <i>Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne</i>, Strasbourg, 1985, p. 2188]</p></small></div></div>
 
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Notice

-- LAMEY Auguste-Guillaume* (Kehl, 3 mars 1772 – Strasbourg, 27 janvier 1861), fils de Jean-Martin, commerçant, et de Charlotte Catherine Lotzbeck, est nommé le 12 nivôse par le district de Colmar. Élève du Gymnase protestant de Strasbourg où ses parents se sont installés en 1778, puis étudiant à l’Université de Strasbourg où il fréquente G.K. Pfeffel, il trouve à s’employer comme greffier du juge de paix du troisième arrondissement de Strasbourg où il est connu pour ses Dekadenliedes chantés dans les Temples de la Raison.

Signataire des pétitions du 24 germinal et 17 floréal, l’école normale fermée, il se fait nommer à Paris comme traducteur officiel de l’Imprimerie nationale. Homme de lettres, il trouve à s’employer en 1812 au bureau de douane de Lunebourg (Basse-Saxe) avant d’exercer à partir de 1816 diverses charges judiciaires en Alsace (à Münster, Altkirch, Colmar et Strasbourg). Sa pension de retraite liquidée en 1844, il se consacre à l’écriture et à sa collection d’art.

Sources

[AD Haut-Rhin – L 827 ; AN - D XXXVIII, 1, dossier 11 ; F17/9558 ; Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne, Strasbourg, 1985, p. 2188]