Guibert Jean-Jacques-Joseph : Différence entre versions

De Ecole normale de l'an III
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Entré  en  novembre  1772  à  la  Faculté  de  médecine  de  Montpellier,  il obtient son baccalauréat puis son doctorat de médecine les 3 février et 1<sup>er</sup> août 1777 et exerce depuis cette date à Gap (Hautes-Alpes) avant d’être commissionné le 21 ventôse an II – 11 mars 1794 comme médecin des armées.
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Pétitionnaire, de retour de Paris, il est nommé le 1<sup>er</sup> germinal an V – 21 mars 1797 à la chaire d’histoire naturelle de l’École centrale de la ville de Gap. il décède à Crest en 1834 alors qu’il exerce comme médecin attaché au service de l’hospice et de la prison de la ville
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[AD  Drôme – L  631  4e cahier,  f.  37  ;  L  1050 ; 1684 ;  R.  Serre,  « Le  Carnaval  contestataire  de  1791 », ''Bulletin  des  Amis  du  Vieux  Crest'',  28,  1996,  multigr. ; Compte de  la  Gestion  du  district  de  Crest  du  1er octobre  1792  v.s.  au  25  pluviôse  an  3e,  Crest,  s.d.,  p.  24-25 ; H.  Berlan, ''Faire  sa  médecine  au  XVIIIe  siècle.  Recrutement  et  devenir  professionnel  des  étudiants  montpelliérains'',  t.5, Université de Montpellier, Thèse d’histoire, 2000, p. 2283]
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Version du 11 décembre 2016 à 13:05

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Notice
-- GUIBERT Jean-Jacques-Joseph (Gréoux-les-Bains (Hautes-Alpes), 30 octobre 1753 – Crest, 17 septembre 1834), fils de François, médecin, et de Thérèse Masseron, est nommé le 28 nivôse par le district de Crest. Marié et père de famille, il est alors officier de santé à Crest, en butte avec le Comité de surveillance local pour « correspondance contre révolutionnaire avec sa sœur ».

Entré en novembre 1772 à la Faculté de médecine de Montpellier, il obtient son baccalauréat puis son doctorat de médecine les 3 février et 1er août 1777 et exerce depuis cette date à Gap (Hautes-Alpes) avant d’être commissionné le 21 ventôse an II – 11 mars 1794 comme médecin des armées.

Pétitionnaire, de retour de Paris, il est nommé le 1er germinal an V – 21 mars 1797 à la chaire d’histoire naturelle de l’École centrale de la ville de Gap. il décède à Crest en 1834 alors qu’il exerce comme médecin attaché au service de l’hospice et de la prison de la ville

[AD Drôme – L 631 4e cahier, f. 37  ; L 1050 ; 1684 ; R. Serre, « Le Carnaval contestataire de 1791 », Bulletin des Amis du Vieux Crest, 28, 1996, multigr. ; Compte de la Gestion du district de Crest du 1er octobre 1792 v.s. au 25 pluviôse an 3e, Crest, s.d., p. 24-25 ; H. Berlan, Faire sa médecine au XVIIIe siècle. Recrutement et devenir professionnel des étudiants montpelliérains, t.5, Université de Montpellier, Thèse d’histoire, 2000, p. 2283]