Camus Claude-François : Différence entre versions
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| − | <span style="font-variant:small-caps;"> Found a typo? Just edit it.</span><div><div style="padding: 0 1.5em; text-align: justify; width:42%;float:left;margin-left:40px;"><div style="text-align:center;margin-bottom:20px;font-variant:small-caps;">'''Notice'''</div><p><b>-- CAMUS Claude-François | + | <span style="font-variant:small-caps;"> Found a typo? Just edit it.</span><div><div style="padding: 0 1.5em; text-align: justify; width:42%;float:left;margin-left:40px;"><div style="text-align:center;margin-bottom:20px;font-variant:small-caps;">'''Notice'''</div><p><b>-- CAMUS Claude-François* (Faverney, 22 mars 1770-)</b>, fils de Claude, laboureur et de Anne-Marie Faucogney, est nommé par le district de Vesoul. Recteur des écoles de Breurey-lès-Faverney, il s'y marie avec Jeanne-Françoise Bernard, fille de Claude-François greffier municipal, le 10 janvier 1792. Il se montre très préoccupé par le cours des assignats (22 octobre 1792) et l’amélioration de son traitement (16 juin 1793). Il s'installe en 1794 dans la ci-devant maison curiale. Une première fille, Barbe-Claude est née du couple le 13 février 1793</p><p>Arrivé à Paris, il demande le 8 nivôse à être suppléé à sa place d’instituteur primaire par son beau-père, Claude-François-Bernard, et son épouse, Jeanne-Françoise, institutrice, qui sait « <i>très bien lire, écrire, passablement les quatre règles d’arithmétique ; coudre en linge et en mode, marquer, broder, etc</i>. ». Il cosigne de Paris le 8 pluviôse an III – 27 janvier 1795 avec A. Bernard une lettre à l’agent national près le district de Vesoul (cf. appendice) et signe la pétition du 2 germinal. La naissance d'une seconde fille du couple, Anne-Philiberte, est déclarée le 5 floréal an III (24 avril 1795) par le grand-père maternel , Claude-François Bernard, "en l'absence de Claude-François Camus arpenteur et instituteur étant actuellement à l'Ecole normale à Paris".</p></div><div style="padding: 0 1.5em; text-align: justify; vertical-align:top;margin-right:20px;float:left;width:42%"><div style="font-variant:small-caps;text-align:center;margin-bottom:20px;">'''Sources'''</div><small><p>[AD Haute Saône – 43 L 1 ; AN – C 338, dossier 1597 ; F17/1004/6 d.633 ; F17/1003 d.213]</p></small></div></div> |
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Version du 14 janvier 2017 à 20:40
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-- CAMUS Claude-François* (Faverney, 22 mars 1770-), fils de Claude, laboureur et de Anne-Marie Faucogney, est nommé par le district de Vesoul. Recteur des écoles de Breurey-lès-Faverney, il s'y marie avec Jeanne-Françoise Bernard, fille de Claude-François greffier municipal, le 10 janvier 1792. Il se montre très préoccupé par le cours des assignats (22 octobre 1792) et l’amélioration de son traitement (16 juin 1793). Il s'installe en 1794 dans la ci-devant maison curiale. Une première fille, Barbe-Claude est née du couple le 13 février 1793
Arrivé à Paris, il demande le 8 nivôse à être suppléé à sa place d’instituteur primaire par son beau-père, Claude-François-Bernard, et son épouse, Jeanne-Françoise, institutrice, qui sait « très bien lire, écrire, passablement les quatre règles d’arithmétique ; coudre en linge et en mode, marquer, broder, etc. ». Il cosigne de Paris le 8 pluviôse an III – 27 janvier 1795 avec A. Bernard une lettre à l’agent national près le district de Vesoul (cf. appendice) et signe la pétition du 2 germinal. La naissance d'une seconde fille du couple, Anne-Philiberte, est déclarée le 5 floréal an III (24 avril 1795) par le grand-père maternel , Claude-François Bernard, "en l'absence de Claude-François Camus arpenteur et instituteur étant actuellement à l'Ecole normale à Paris".
[AD Haute Saône – 43 L 1 ; AN – C 338, dossier 1597 ; F17/1004/6 d.633 ; F17/1003 d.213]
